July 2020

a Life in Games (partie #5.1) “La Soixantekat”

Cet article fait partie d’une série où je parle de tous les jeux auxquels j’ai joué dans ma vie ! C’est mon avis et je le partage… avec des anecdotes amusantes ! [ SOMMAIRE ]

Nintendo 64

La console de tous mes rêves, l’Ultra 64… qui ne voulait pas sortir (en particulier en France, un an après le Japon, argh). J’ai joué une bonne année quasi exclusivement à Super Mario Kart en l’attendant reports après reports, et changement de nom, j’ai presque délaissé les JV. Tous mes potes avaient la PlayStation, mais je n’avais même pas envie d’y jouer, malgré les grands jeux que j’ai pu voir passer devant mon nez. J’ai même arrêté d’acheter des magazines, Nintendo “Ultra” Player avait sombré, et Player One ne parlait logiquement que de PS1 et Saturn. Et puis, elle a fini par sortir, et me permettre de replonger à jamais dans les jeux vidéo… Car même si elle a abrité assez peu de jeux, ce fut avec une proportion inégalée de meilleurs jeux de tous les temps !

Mario Kart 64

Ayant surdosé SMK, c’était le jeu que je voulais en premier. Déjà remis de la déception de voir mon perso (Koopa Troopa) remplacé par Wario, j’ai jeté mon dévolu sur Toad. C’était une belle entrée en matière pour la N64, déjà le jeu était en plein écran ! Et les circuits beaucoup plus originaux que sur SMK. Le mode championnat était relativement moins frustrant (excepté la carapace bleue… grrr). En regardant en arrière ça n’est pas un épisode qui peut faire l’unanimité, avec son mélange de 3D et de sprites, sa jouabilité pas très accessible, ses bugs et situations free style, ses circuits parfois étranges (Kalimari Desert, Yoshi Circuit…) quand on est habitué à la précision de l’opus précédent. Mais il avait gardé à sa manière les deux points forts de SMK : le time trial et le mode battle, ce dernier n’ayant jamais été égalé dans ses suites, ni dans le genre. Le pilotage à niveau élevé est grisant avec l’arrivée des niveaux de boost en virages, et “Block Fort” reste pour moi LA piste de battle de l’ère 3D. Jouable à 4 en écran splitté (j’étais imbattable contre mes rares adversaires, haha). Inusable.

La course sur l’autoroute, bonne ou mauvaise idée ?

Wave Race 64

Des jeux de lancement comme ça, c’est inespéré. Qui serait sur le papier attiré par un jeu de course de slalom de bouées en jet-ski, en 1997 ? Moi, apparemment… Le moteur physique des vagues est juste incroyable (à mon sens bien meilleur que sa suite), on sent tellement le poids du véhicule sur les vagues, les courants, avec un travail sur le son jamais vu à l’époque. L’habillage kitsch-cool avec son ambianceur qui en fait des caisses (mais pas trop), ses bruitages très “arcade” grisants, l’impression de vitesse, les paysages variés avec de magnifiques effets atmosphériques et météo, et le challenge vraiment présent après un départ en douceur qui demande de maîtriser à son plein potentiel le stick analogique. La sensation de lutte contre les adversaires et les éléments rend ce jeu inoubliable, jouez-y. Il est sorti un peu de nulle part et sans vraiment faire de vagues (welcome to humour-dot-com, haha), mais c’est toujours un de mes jeux préférés ever ! “MAXIMUM POWER“.

SPLUCHE !!

Super Mario 64

Bizarrement je ne l’ai pas pris avec la console, alors que c’était LA vitrine de la N64, que je bavais dessus depuis plus de deux ans, mais je l’ai eu quand même assez rapidement. C’est un jeu étape, qui redéfinit les jeux qui vont suivre. Je l’ai terminé à 100% et y revient de temps à autre, mais là où il a pris sa vraie dimension à mon sens, c’est en le redécouvrant à la lueur du speedrun, la profondeur de ce jeu est démentielle, avec la précision apportée par le stick analogique pleinement exploité ici (bien mieux que dans tant de jeux sortis ensuite). A mon niveau casu, ça n’est pas forcément mon mario 3D préféré, avec son aspect assez brut il manque un peu de la “chaleur” du monde Nintendo, mais franchement on s’en fout, qu’on prenne son pied à faire des salto au sommet des arbres “plats”, ou qu’on arrive à le terminer à 100% en 1h38, c’est carré², et sans conteste un des meilleurs jeux de tous les temps.

FIFA : Road to World Cup 98 (par Footix)

Quatorze ans, et une mauvaise fois sans égale, haha. Je vous raconte. 1998, c’était la Coupe du monde à la maison, on n’avait pas encore gagné, je ne m’étais absolument jamais intéressé au football avant ça… bref le Footix absolu (j’ai même la peluche officielle, acheté sur une aire d’autoroute en revenant d’un voyage scolaire en Espagne, haha). Ainsi, de passage dans un Darty, je me prends le jeu officiel malgré les 550 francs demandés (quasi 200F de plus que les jeux Nintendo), probablement saucé par sa note dans un quelconque magazine financé par la pub d’Electronic Arts, et par le souvenir d’une partie amusante un jour sur la version PlayStation. 550 divisés par 6,5, ce qui donne en euros… Ah oui, alors, FIFA 98, des graphismes vraiment beaux, la jouabilité très précise, pour preuve les passes ne ratent jamais, même s’il est un peu moins vif que sur PlayStation à mon goût (mais c’était moche sur PS1. C’est moche la PS1 !). En plus d’avoir un bouton de tacle à la gorge, on peut marquer des buts en faisant des pirouettes sur le chemin, et puis y’a toutes les équipes de la terre (les Îles Féroé, c’est pas dans le Pacifique ça ?), et même si tous les joueurs sont clonés sur le modèle d’une statue grecque rongée par 2000 ans d’intempéries et se meuvent comme des patients qui sortent de coloscopie, ça en jette sévère. On peut ainsi jouer la qualification intégrale de n’importe quelle équipe en présence pour les amener au Stade de France fraîchement construit ! Enfin, vu qu’il est pas dans le jeu, plutôt au Parc des Princes ! Nan, vraiment le meilleur jeu de foot de la console, même si faut acheter une carte mémoire pour sauvegarder. Et puis, c’est pas si flou pour de la N64.

“EA Sports, tzénégaine !” Les matches de nuit avaient un bon rendu.

International Superstar Soccer ’98 (par Footix)

Mon meilleur pote, toujours en pointe de l’attaque, une fois Zidane et ses comparses devenus champions du monde pour l’éternité (non ?), jette son dévolu sur ISS 98. Toujours fourré chez lui, on rejoue la finale ad nauseam, et je dois toujours prendre le Brésil. Il faut tout de même me rendre à l’évidence : il peut continuer d’y jouer quand je rentre chez moi, et je ne peux offrir qu’une performance digne d’un Ronaldo (le vrai) de 12 juillet. Bref, FIFA 98, vraiment toujours le meilleur jeu de foot de la console. Même si, je le concède, on peut faire plein de trucs dans le jeu de Konami, les animations sont franchement pas immondes, c’est très coloré et plus vivant que tous les jeux de foot jamais sortis, on ne peut le nier… les commentaires sont assez enjoués et les menus plutôt sympas. Je dois avouer que le contrôle de balle est relativement plaisant et libre, oui. Après, y’a pas les licences officielles, FIFA 98 reste vraiment le meilleur jeu de foot de la console.

La version japonaise avait la licence officielle, avec Djidane ?

FIFA 98 vs. ISS 98

Comme souvent mon pote revend ses jeux, et j’ai la primauté de pouvoir les racheter, ou pas. Le tour du modeste ISS 98 est venu. Pauvre cartouche délaissée par de jeunes Footix déjà passés à autre chose… Mais pas moi, non ! Même pas 100 balles (francs) pour cette merveille ?! Pour l’un des meilleurs jeux de foot de tous les temps, alors que j’ai balancé mon FIFA sous le canapé depuis ce misérable PSG – Chateauroux perdu 5 à 1 et qu’il y prend toujours la poussière depuis trois mois. T’es sérieux ? ISS 98 c’est le feu ! L’ambiance sonore incroyable, et le public en délire qui remue ; les menus à l’ancienne chatoyants avec plein de paramètres qui ont un influx direct sur le jeu, on peut tout éditer ; on tire a pile ou face pour choisir sa moitié de terrain ; les graphismes sont excellents, très colorés et les terrains ont des teintes et tontes de gazon bien distinguées ; le jeu sous la pluie ou la neige est totalement modifié, les tackles font trop maaaal, mais c’est toujours un gameplay super fouillé ; la jouabilité est super-réactive et même si c’est toujours arcade, on peut vraiment nuancer son jeu avec des tricks vraiment utiles et stylés ; les différents systèmes de coups de pied arrêtés sont géniaux, et même ces salauds d’arbitres de touche ont la classe, puis les joueurs ont des tailles différentes, même le mode ralenti tue la gueule ! ISS 98 c’est le compromis arcade / simulation ultime pour un jeu de foot. Cherche pas, et laisse donc ce FIFA ennuyeux et terne sous le canapé !

Selon des sources thermales, Footix serait devenu père de famille.

Yoshi’s Story

Vu ma véritable passion pour le premier vrai plateformer starring Yossy, j’espérais forcément un retour tout aussi fracassant, mais à la place vint une suite assez différente, qui n’est pas dénuée d’intérêt. Déjà, exit le petit père Mario qui chiale, ça c’est un bon point, haha. Ensuite on accueille un système de progression non linéaire narré comme un livre en relief, en effet il faut finir le jeu plein de fois pour faire tous les niveaux et les débloquer, il y’a un côté rébarbatif, mais à l’époque on pouvait plus facilement passer des semaines sur un jeu et essayer de le retourner (et pouvoir jouer black Yoshi), sachant qu’il est assez facile. Les niveaux n’ont également pas de fin, pour en sortir, il suffit de manger 30 des nombreux fruits éparpillés (le challenge étant de ne prendre que des melons, souvent bien planqués). Le système de lancer d’oeuf évolue aussi, avec une cible que l’on contrôle totalement, le jeu, étonnamment, n’étant uniquement contrôlable qu’au stick analogique. A côté de ça le jeu n’est peut-être qu’en 2D à l’époque du tout 3D, mais il en met plein la vue avec son univers fait main, au rendu plus proche de ce que Yoshi’s Island était censé avoir. J’aime vraiment beaucoup ce jeu (même si j’ai longtemps été mitigé sur les nouveaux bruitages enfantins des Yoshis), qui est encore une fois très inventif et fun, il faut juste ne pas le voir comme une suite du meilleur jeu de tous le temps (haha).

C’est fini pour cette première salve des jeux N64 que j’ai eu étant jeune, avant de poursuivre, n’hésitez pas à parler de vos souvenirs de 64 player un peu plus bas !

RePlay of the Week 28 & 29 [2020]

Retrouvez dans cette suite d’articles, le replay de chacun de mes derniers live streams sur Twitch, et n’hésitez pas à suivre ma chaîne YouTube pour être averti dès la publication des nouvelles vidéos, dont quelques « extras » ! [ DEPUIS 2012 ! ] [ RÉSUMÉ 2023 ] [ RÉSUMÉ 2024 ]


M.o.t.W.* : « Même ressucité, ce jeu meurt encore… »

Bonus : « Le plus grand parachuteur artistique du monde ! »

2020/7/18

PC ENGINE MINI › la suite de la découverte du Nec plus ultra des petites consoles [talkie Mux](random games | PC Engine CoreGrafX mini)

Avec une semaine de décalage, on se retrouve pour de nouvelles découvertes de jeux PC Engine, avec la version mini de la console sortie récemment, toujours dans l’ordre chronologique des sorties.

Le replay.

On retrouve ainsi des jeux plus aboutis et moins d’excentricités (à part The Genji & the Heike Clans), notamment sur le support CD-Rom qui donne à des intros impressionnantes et des musiques d’une grande qualité. Evidemment toujours beaucoup de Shmups tels Super Star Soldier, Aldynes, Spriggan, Star Parodier ; mais aussi des RPG qui sont vraiment sympa avec Ys et Neutopia II ; des classiques tels Ninja Gaiden, Splatterhouse et Bonk’s Revenge ; ou encore des jeux hybrides tel Valkyrie no Densetsu.

J’espérais en finir cette fois-ci mais on terminera samedi prochain avec quelques gros jeux tel Castlevania : Rondo of Blood !

Le mot de passe est : Wbov2Co$ ho3#zev5 y$eIzI&r wEvu&wWg 6D3cJfui LYTqXchX (sans rire).

2020/7/15

NEON ABYSS (PC) › semi-découverte du jeu avec RNG aléatoire d’explosion de PC ? [talkie Mux](Neon Abyss | PC)

Je bouleverse encore mon pseudo-planning de jeux à continuer pour découvrir davantage Neon Abyss, un roguelite qui est sorti hier, avec items et level design aléatoires, qui emprunte un peu à plein de jeu à succès.

Le replay.

De la structure du jeu calquée sur The Binding of Isaac, l’ambiance néon~electro et la visée 360 qui rappellent Hotline Miami, les niveaux qui rappellent assez Rogue Legacy, même des sprites qui me suggèrent Starbound, et j’en passe. Bref le mélange fonctionne bien, avec des runs qui ne se ressemblent pas, mais il ne m’a pas totalement charmé d’emblée comme un Dead Cells ou un Rogue Legacy, les graphismes étant joli mais manquent du truc en plus (l’animation des persos est assez basique, les décors assez répétitifs, etc), n’étant de plus pas très à l’aise sur les jeux à visée.

Je me suis tout de même bien amusé sur ces 4h de jeu, j’y reviendrai probablement (surtout que ce type de jeu est amené à être régulièrement enrichi de contenu supplémentaire via mises-à-jour), mais en changeant les musiques, cool mais trop répétitives… >_<

Hier, c’était le 14 juillet.

2020/7/14

AC3 › Vous pouvez caresser les chiens. PLTHRGH#2 [talkie Mux](Assassin’s Creed III : Remastered | PlayStation 4)

Connor est un grand garçon, mais pas encore un assassin digne de ce nom… Avant cela il doit caresser encore davantage de chiens dans les rues de Boston, se faire poursuivre par une équipe complète de rugby à XV, apprendre à naviguer au large en évitant les trolls du chat, et survivre au crash du jeu. Il pourra par la suite enfin être accepté dans l’ordre de Benny Hill. Voici son histoire…

Le replay.

2020/7/13

AC3R › Welcome to Bugmerica ? PLTHRGH#1 [talkie Mux](Assassin’s Creed III : Remastered | PlayStation 4)

J’ai lancé le troisème AC numéroté par curiosité, dans sa version remasterisée de 65 Go sur PS4 (WTF?), alors que je joue encore à Origins.

Le replay.

J’ai entendu qu’il était assez bancal pour plusieurs raisons (le héros sans grande personnalité, les bugs, le côté moins vertical des lieux, etc), c’est aussi le premier jeu depuis que Patrice Désilets, le “cerveau” de la série”, ne fasse plus partie d’Ubisoft, même si on suit toujours le destin de Desmond dans le présent, ça m’intrigue de voir comment ils ont ouvert le scénario pour faire la myriade de suite qu’on a vu passer, alors qu’à l’origine il devait conclure l’histoire si on en croit quelques interviews de développeurs.

On joue au départ avec un Anglais qui part à Boston en bateau en 1750 environ, le père du personnage principal du jeu. Je n’ai pas streamé cette partie mais elle sera dispo sur YoTubé pour les plus curieux. Le jeu malgré le ravalement de façade plutôt réussi laisse paraître encore de nombreux bugs et problèmes de gameplay souvent liés à la superpositions de systèmes de jeu tellement nombreux qu’ils entre en conflit.

Cela dit j’apprécie plutôt l’aventure et l’ouverture sur des environnements naturels, avec pas mal de variété dans les missions et l’intérêt de voir la “naissance” d’un héros, les changements de saisons, mais aussi de voir représenté un côté des populations natives de l’Amérique et leurs luttes face aux colons qui bouleversent leur univers. Qui ne se résument évidemment pas aux phases de poursuite à la Benny Hill, haha.

2020/7/9

RATCHET & CLANK (PS4) › the game from the movie from the game ! PLTHRGH#1 [talkie Mux](Ratchet & Clank | PlayStation 4)

Validé par Kubo & Mux.

Comme promis, après Spyro, on reste chez Insomniac Games, et voici le début du “reboot” ou “remake” du premier Ratchet & Clank. Le jeu est en anglais intégral, vu qu’il n’y a pas d’option pour mettre les voix VO avec le jeu / sous-titres en Français, la VO étant tellement bien que je ne pouvais pas me résoudre à mettre la VF (qui était bien malgré tout sur les opus PS2, mais là je ne sais pas).

J’aurais préféré faire les doublages maison dont j’ai le secret, haha, mais il y a pas mal de dialogues ingame, le twist du jeu étant qu’il s’agit de l’histoire du premier narrée du point de vue biaisé de ce crétin de Captain Qwark… Le jeu est vraiment magnifique, on va pas en revenir sur le futur opus PS5.

J’ai du malheureusement écourter abruptement le stream, ma chérie étant souffrante (ça va mieux ^^).

J’ai du malheureusement écourter abruptement le stream, ma chérie étant souffrante (ça va mieux ^^).

Le replay.

RePlay of the Week 27 [2020]

Retrouvez dans cette suite d’articles, le replay de chacun de mes derniers live streams sur Twitch, et n’hésitez pas à suivre ma chaîne YouTube pour être averti dès la publication des nouvelles vidéos, dont quelques « extras » ! [ DEPUIS 2012 ! ] [ RÉSUMÉ 2023 ] [ RÉSUMÉ 2024 ]


M.o.t.W.* : « Kubo en plein moment BREAKING NEWS ! – non censuré »


2020/7/4

ACNH › 4 juillet, le Bluebear has arrived (Myrtille) ! [silent Mux](Animal Crossing : New Horizons | Nintendo Switch)

en : After a busy yesterday, I’m proposing to you today the classic routine of Animal Crossing, but with the arrival of a new neighbor named Bluebear.

Le replay.

The game did not let me the time to choose a new Pisha inhabitant following the departure of Diva, but this random newcomer seems really cool and adorable, I will not complain, I could have pick her during a deserted island encounter or in the camping tent. Well enough talking, sit back and relax !

ʕ´• ᴥ •`ʔ

PC ENGINE MINI › essai du Nec plus ultra des petites consoles [talkie Mux](random games | PC Engine CoreGrafX mini)

Je vous propose de découvrir ensemble le catalogue de cette nouvelle console format réduit éditée par Konami, destinée à un public plus pointu, la PC Engine CoreGrafX mini, qui vient de sortir en France après un retard de quelques mois dû au covid-19.

Le replay.

Après une petite introduction à propos de la console d’origine de Nec, du matériel en présence et des jeux, je me lance à la découverte dans l’ordre à peu près chronologique de chacun de ces derniers, connaissant assez peu le catalogue de la PC Engine. J’explore aussi bien les jeux japonais que les sorties américaines, et je me suis arrêté au bout de quatre heures à un gros tier du total (sur plus de 50 jeux tout de même).

Globalement pour l’instant c’est un line-up très intéressant, même le jeu de croquet était fun à découvrir, haha. Bien sûr les quelques jeux un peu WTF font regretter l’absence d’un jeu phare de la console comme peut l’être Final Match Tennis, et malgré la qualités vraiment excellentes des menus et de l’émulation, une courte présentation et de remise en contexte de chaque jeu aurait été un plus, sachant que pas mal de jeux ne sont exclusivement qu’en japonais, et qu’absolument rien n’est traduit en français (pas un souci pour moi, mais il faut le noter). J’ai palié à cela en consultant un article en parallèle, étant assez néophyte concernant cette excellente console ^^

On se retrouve dans une semaine pour la suite de ma découverte de tout ces jeux, dont une grandes partie des incontournables de la console qui n’ont pas encore été abordés ici !

*speaks Japanese*

2020/7/3

ACNH › +100 jours passés, retour sur l’évolution de Pisha Island & MAJ de juillet ! [talky Mux](Animal Crossing : New Horizons | Nintendo Switch)

Come-back sur ACNH à l’occasion de la mise à jour de juillet, avec un programme sympa malgré la météo immonde du jour. Je vous montre d’abord mes prises récentes à donner au musée, avec notamment le fameux cul de triceratops qui me permet enfin de compléter la zone des fossiles !

Je fais le petit tour quotidien en découvrant les nouveautés de la première update estivale, le plus cool étant la nage et la plongée qui donnent un peu plus de liberté autour de notre caillou perdu en mer. On passe également faire un tour à Hyrule chez LinkMaster pour vendre 150K clochettes de pommes et voir comment son île a évolué. Sur ce dernier thème, je vous propose une petite rétrospective en screenshots des moments marquants de ces plus de 100 jours d’affilée de jeu, ça a bien changé !

Diva étant partie hier, je voulais chercher un(e) remplaçant(e), mais le jeu en a décidé autrement et m’a imposé l’arrivée de Bluebear, je termine quand même en allant visiter une île déserte, qui s’est avérée nulle pour changer…

Voilà, dès que j’ai assez de choses à vous montrer je vous refais une petite vidéo ou un stream de New Horizons !

Le replay.

2020/7/1

SPYRO 3 (REIGNITED) › l’année du dragon, passage du brevet des héros – PLTHRGH#5 [talky Mux](Spyro Reignited Trilogy | PS4)

Voilà la conclusion de la trilogie Spyro sur ma chaîne, une bien belle aventure globalement !

Le replay.

Les remakes sont vraiment magnifiques et subliment les jeux de base (que je ne connaissais qu’en démo) ; le gameplay est super pour tout ce qui concerne le platforming classique, en ce sens j’ai peut-être quand même préféré le premier Spyro qui s’éparpille peu ; j’ai eu pas mal d’occasions de faire des doublages bien débiles en dépit de l’absence de musique pendant les cutscenes haha, le 2ème épisode et ses scénettes était bien drôle pour ça ; mais aussi des moments de frustration liés à quelques passages mal designés ou redesignés (en particulier dans le 3ème opus ici présent).

Je ne pense ainsi pas viser le 100% en stream pour cet épisode, ou alors pas dans l’immédiat, tellement les quelques objectifs restants semblent injustes. Au programme de ce final donc, le dernier niveau que je n’avais pas encore visité, puis un retour dans les niveaux inachevés des précédents mondes. Je vais ensuite à l’affrontement face au dernier dernier boss, la sorcière croco expédiée bien rapidement, aussi bien dans le combat lui-même que dans le scénario (un micro plan ambigu… peut-être un comeback quand on a tout récupéré ?).

Concernant le contenu endgame, on peut jouer avec l’adorable Sparx dans des niveaux stylés shoot’em up. C’est franchement pas mal du tout ! J’ai beaucoup aimé le passage avec l’Agent 9 en vue FPS, très bien foutu ^^. En tout cas merci d’être passé sur ces streams ou de regarder ça en différé, moi je me suis bien marré, j’espère que vous aussi !

Un jour peut-être…

2020/6/29

SPYRO 3 (REIGNITED) › l’année du dragon, troisième trimestre – PLTHRGH#4 [talky Mux](Spyro Reignited Trilogy | PS4)

On a découvet le dernier monde pendant ce stream, toujours aussi beau, avec notamment un niveau de dino cowboys (n’importe quoi !). La fin approche mais on a encore un peu de chemin avant de tout compléter, si cela est vraiment possible… Comment venir à bout des mini-jeux de l’enfer : l’épreuve du tape-taupes, des courses en vol, et j’en passe ?

J’ai reussi à passer le match de boxe en filoutant, c’est déjà ça ! Le dernier personnage jouable, un singe de l’espace, fait furieusement penser à Ratchet & Clank. Raison de plus pour attaquer celui sur PS4 prochainement ^^.

Le replay.