August 2020

RePlay of the Week 32 & 33 [2020]

Retrouvez dans cette suite d’articles, le replay de chacun de mes derniers live streams sur Twitch, et n’hésitez pas à suivre ma chaîne YouTube pour être averti dès la publication des nouvelles vidéos, dont quelques « extras » ! [ DEPUIS 2012 ! ] [ RÉSUMÉ 2023 ] [ RÉSUMÉ 2024 ]


M.o.t.W.* : « Le Turbo Puma buggé… »

Bonus : « Encore un bug dans l’Animux ! »

2020/8/15

AC3 › N’oubliez pas de remplir votre déclaration d’indépendance électronique avant minuit. PLTHRGH#5 [talkie Mux](Assassin’s Creed III : Remastered | PlayStation 4)

Caresser des chiens, toujours le seul truc vraiment compréhensible d’Assassin’s Creed III. La canicool est terminée, j’en ai profité pour achever un nouvel article sur la Nintendo 64, et donc je reprends ce jeu incroyable qui pour cette session m’aura offert un beau florilège de petits bugs, dont une mission impossible à terminer si on ne fait pas exactement comme le jeu le veut, sans nous dire quoi évidemment haha.

On commence la partie à Boston sous la neige, puis de la libération de forts, et on retrouvera notre méchant peupaaa, pour quelques missions qui nous mènent dans le New York bien moisi de l’époque. Je m’inflige également sans raison une grosse tranche de méta histoire alors que j’ai fait les épisodes dans le désordre et que j’y pige plus grand chose.

Évidemment, encore une fois on se délecte sans modération de courses poursuites Bennyhilliennes, et on appelle Cheval à volonté. On finira le chapitre 9 la prochaine fois !

Le replay.
“Nous sommes siamois. Moitié veau, moitié assassin. Je ferme les yeux quand il fait caca.”

2020/8/7

AC3 › C’est pas Connor qu’on honore. PLTHRGH#4 [talkie Mux](Assassin’s Creed III : Remastered | PlayStation 4)

Pour cette partie, on se consacre intégralement à la lecture à haute voix de tutoriaux ingame et à l’exploration de menus. Nan, je rigole (enfin pas tant que ça). On avance encore dans le scénario alambiqué du jeu aux intrigues très politiques (le XVIIIème siècle, un beau merdier), avec un peu de filature, des poursuites, de l’escalade d’arbres, de la castagne (dans un passage digne de la saison 3 de Prison Break), moults chiens carressés, un métro fraudé, et enfin en faisant le crétin dans la neige.

J’ai enfin compris une partie des systèmes de jeu et le fonctionnement des sous-sous-menus, on peut dire que ça se mérite !

Le replay.

2020/8/5

ACNH > Déjà août, bienvenue à Jardiland ! [talkie Mux](Animal Crossing : New Horizons | Nintendo Switch)

Je joue toujours chaque jour au jeu, mais il était temps de lancer un stream, puisque j’ai décidé d’enfin enlever toutes ces fleurs envahissantes, qui pullulent comme de mauvaises herbes, tout en vous montrant quelques nouveautés de la mise à jour d’août et évolutions de Pisha Island.

Le replay.

Suprise dès le début, j’obtiens la recette pour avoir mon masque de Pharaon chéri, moi qui guettait le magasin depuis des mois… (je le portais tout le temps sur Wild World parce que mon villageois avait une tête de noeud, haha). Bref, on discute pendant que le conglomérat de taupe déplace magiquement les parterres informes de fleurs pour en faire de magnifique compositions florales.

Alors que Greta est toujours là…

2020/8/3

AC3 › C’est le boxon à Boston. PLTHRGH#3 [talkie Mux](Assassin’s Creed III : Remastered | PlayStation 4)

Je reviens après une semaine blanche sur le plan du streaming, une petite période anxiogène niveau perso s’étant installée (j’ai quand même fait quelques bricoles sur MuxerZ.fr ou ajouter les “flairs” pour les subs Tier 2 et 3 sur Twitch, c’est-à-dire personne, haha), avec la suite des aventures de Connor, le Benny Hill américain.

Le replay.

Au programme, on avance l’histoire toujours un peu décousue, avec des batailles de guerre peu subtiles, un peu de combat naval et j’essaie également de comprendre un peu comment fonctionne les quêtes annexes (sans grand succès il faut l’avouer, les nombreux et différents systèmes de jeux sont assez mal mis en valeur et il manque un menu qui unifie toutes les infos).

Bien sûr, petit florilège de bugs et bizarreries (le mystère de la souche de téléportation), et du carressage de chien (dans le jeu et IRL, haha). Un stream qui m’a fait du bien, et qui j’espère me sortira de cette spirale maussade !

a Life in Games (partie #5.3) “La Soixantekat” -ter-

Cet article fait partie d’une série où je parle de tous les jeux auxquels j’ai joué dans ma vie ! C’est mon avis et je le partage… avec des anecdotes amusantes ! [ SOMMAIRE ]

Nintendo 64

Après deux parties sur les jeux que j’ai possédés sur N64, je ne me suis pas encore étendu sur sa manette ! Ce design en trois “branches” en aura perturbé plus d’un, et comporte évidemment quelques lacunes, mais cette imposante manette qui tient parfaitement en main, aura apporté de nombreuses bases encore d’actualité 25 ans plus tard. Évidemment, le stick analogique fut la star ! La technologie a bien évolué depuis, et il était très sensible à l’usure (pensée aux pauvres stick complètement morts des bornes d’expo des magasins), cela dit, il reste pour moi le plus précis des sticks, celui avec lequel on peut apporter le plus de nuances dans la direction. Pour le reste, on est en retrait par rapport à la qualité de la manette SNES, mais elle était quasiment parfaite pour les jeux incontournables qu’elle a accueillis. Et puis il ne faut pas oublier que cette console qui a connu les plus grands jeux multijoueur en écran splitté, dispose de quatre ports manette !

V-Rally Edition ’99

Hypé par les jeux de rally je ne sais plus trop pourquoi (une cassette vidéo de démos de jeux avec une musique entraînante ?), j’ai jeté mon dévolu sur cette version 64 du précurseur V-Rally. Regrets. Haha. Un jeu aride, laid, à l’ambiance terne, et surtout d’une jouabilité vraiment pas terrible (avec une sensation de flottement, dû à la manette 64 ? Je n’ai jamais touché à la version PS1) couplé à un moteur physique lunaire. Pourtant je me suis forcé à l’aimer (à 450 francs, il faut assumer ce genre de choix) et l’ai parcouru longuement. Après des centaines de tonneaux volants j’ai décidé qu’il était simplement la ludonumérisation de la mort du fun.

Le magazine officiel et sa notation toujours supérieure à 80%. Sauf si l’éditeur n’avait pas eu l’idée judicieuse de glisser une liasse de billets avec la copie presse du jeu ?

Rayman 2 : The Great Escape

Rayman contre les pirates de l’espace, voilà un jeu qui fut une très bonne surprise. Contrairement au premier épisode tout en plate-forme 2D classique (auquel je n’avais jamais joué), celui-ci passe à la 3D, tout en restant assez linéaire et respectant le personnage, en offrant une mise en scène de l’histoire réussie. J’adore vraiment la direction artistique du jeu, les couleurs toujours bien choisies, les environnements sont variés mais avec un style et des éléments qui définissent un univers propre au jeu, le design des persos est vraiment cool et très “BD”, et les musiques sont au top ! Vraiment un très bon plateformer qui varie bien les situations. Le bonus de fin de niveau tout en button mashing aura bien fait suer aussi, haha.

Les niveaux de poursuite étaient vraiment sympas.

Centre Court Tennis

Je vous avais déjà parlé de la grande quête du jeu de tennis ultime, elle est donc passée par ce jeu au style SD (Super Deformed) tout mignon qui offre un très bon contrôle de balle, et pas dénué d’idées, ni de fun ! Parmi les trucs marquants, retenons évidemment la vue derrière le perso qui fait varier pas mal le ressenti du jeu par rapport à la vue classique de haut. Le contrôle de balle est intéressant dans le genre arcade. Enfin, l’éditeur de persos est vraiment très cool. Les décors variés et parfois farfelus en font un digne héritier de Smash Tennis, en plus jouable à quatre facilement. Mais la feature ultime, c’est évidemment de pouvoir taunter l’adversaire à tout moment, et surtout cogner son partenaire de double avec sa raquette, haha ! Je jouais souvent avec un perso féminin, et ma mère, la voyant de loin maltraiter bien souvent son teammate, lâchait régulièrement : “ah, la connasse !” (j’ai reçu une excellente éducation).

La pochette japonaise (^) représente bien le jeu contrairement à la version PAL (ˬ).

Jet Force Gemini

Encore un symbole du studio Rare totalement on fire sur N64, Jet Force Gemini regorge d’idées et offre un cocktail incroyablement réussi pour un coup d’essai. On est amené à contrôler trois personnages différents (une fille, un garçon et… un chien) qui devront nettoyer la galaxie d’une horde d’insectes humanoïdes en tirant à tout va. Chaque perso à son propre chemin linéaire, jusqu’à se retrouver et offrir plus de liberté. Il rappelle par beaucoup d’aspects l’excellente série des Ratchet & Clank (le voyage entre planètes / vaisseaux, le gameplay mixant shoot et plate-forme, les armes originales, la qualité du level design). Même si la N64 crachait ses trippes pour afficher ces batailles acharnées contre des ennemis qui finissent souvent en morceaux dans des décors majestueux, le rendu graphique est vraiment unique, et je me souviens par exemple avoir été en extase sur le design des vaisseaux qu’on aborde. Encore une fois, on ne peut passer sous silence la qualité de la bande-son, qui baigne dans le grandiloquent typique du space-opéra, tout en offrant également des ambiances soignées, s’aventurant çà et là dans vers des inspirations inattendues, mais toujours avec des mélodies mémorables et une construction très élaborée des morceaux. Les seuls bémols que j’adresserais à cette succession de louanges iront vers le chara design des héros qui n’est pas très flamboyant avec leurs visages poupons, et surtout la jouabilité un peu compliquée, manquant parfois de précisions. Le challenge est également présent, mais les nombreux bonus donnent envie de se donner du mal pour débloquer tous les secrets (par exemple les mini-jeux de course rétro, ou à la wipEout), et étendre notamment l’expérience multijoueur, particulièrement le deathmatch. JFG est une vraie perle, un peu difficile d’accès, et malheureusement restée sans suite (même si la sortie récente de Tamarin aurait pu réparer cette injustice).

Dans la deuxième partie du jeu, Lupus est affublé d’un tank ! (à noter que le jeu propose une option 16:9 assez rare pour l’époque)

Donkey Kong 64

Après un Banjo-Kazooie au sommet, on s’attendait tous à une transposition dans l’univers de DK toute aussi impressionnante par Rare, qui avait su faire revivre le personnage de Nintendo avec brio sur SNES en créant un vrai univers autour. Seulement, à vouloir trop en faire et essayer d’aller encore plus loin avec l’aide du fameux Expansion Pack (qui double la RAM de la console), cet épisode N64 à complètement perdu pieds avec l’équilibre parfait trouvé avec BK. Un jeu que j’aime malgré ça, mais qui m’avait en même temps déçu sur pas mal de points. Le jeu est vraiment gigantesque, avec des niveaux immenses, des kilotonnes de trucs à collecter, des quêtes à gogo, des boss massifs, et pas moins de cinq personnages très différents contrôlables ! L’humour est très présent, tournant souvent en dérision les Kremlings, alors que les Kong ont un panel de coups assez délirant, et ont même droit à un fameux rap d’anthologie au lancement du jeu. Les graphismes en jettent, avec des effets de lumière et des textures assez dingues, mais malgré ça la direction artistique est en retrait par rapport à BK, le tout manque d’unité et d’atmosphère, même avec de belles fulgurances, on oscille régulièrement entre le terne et le criard, loin de la trilogie Donkey Kong Country. Le gros problème du jeu n’est vraiment pas sa durée de vie mais plutôt comment elle est utilisée, les larges niveaux occasionnent beaucoup trop de déplacements pour collecter la myriade d’items (chacun à ses propres bananes de couleurs différentes), les aller-retours pour changer de persos, ou pour recharger en munitions, le rythme est souvent cassé, tout se monnaie, et on a l’impression que tout a été fractionné pour allonger le jeu, c’est souvent frustrant. La folie des mini-jeux est également totale, avec évidemment du bon et du mauvais, au point que pour accéder à la fin du jeu il faut finir le Donkey Kong arcade des années 80. Les contrôles sont aussi un peu décevants, c’est assez lent et manque de précision, encore une fois frustrant lors des nombreux passages plate-forme en altitude et qu’il faut recommencer. Je l’avais quand même quasi terminé avec plus de 70 heures de jeu, bloqué devant la porte du boss final, haha. Les meilleurs ingrédients réunis pour faire une grosse bouillie de banane, le jeu agaçant par excellence.

Heureusement il y a Lanky Kong… OOPLA~WOOP~WOOP~WOOHOOHOOHOO !!!

Perfect Dark

Contre toute attente, la suite de GoldenEye 007, mais sans James Bond ! Et c’est tant mieux, Rare ayant comment souvent réussi à faire un univers bien à lui (assez kitsch pour le coup, à renfort d’histoires d’extraterrestres) tout en magnifiant la formule de base : les niveaux sont plus grands, le jeu est somptueux (contraignant l’utilisation de l’Expansion Pack pour le mode solo), absolument tout est amélioré dans un soucis poussé du détail (on peut plonger des pièces dans le noir en tirant sur les lampes par exemple), sans jamais s’égarer, le gameplay étant dans la droite lignée du précédent. On joue cette fois-ci une agent secret dans un futur cyberpunkisé, ce qui permet d’apporter des armes très variées et tout à fait originales (le “laptop gun” ou encore le Farsight qui détecte les ennemis et tir à travers les murs, le bazooka téléguidé avec caméra sur le missile…) en plus des classiques revisités, chacune d’entre elles ayant deux fonctions (tir en rafale, explosif, zoom, etc). Ce qui nous amène au mode multi, toujours jouables à 4 en splitté, mais aussi tout seul ! Des “simulants” ont été ajoutés avec des caractéristiques spéciales (certains sont lâches, d’autres hyper aggressifs, kamikazes ou pacifiques, haha), absolument tout étant paramétrables, des armes, au nombre de CPU et leur type, aux cheat codes, ce mode comportant plein de modes de jeu différents, et toujours un level design maîtrisé et varié qui ne laisse aucune carte sur le carreau (tout en reprenant les grands classiques de son prédécesseur). J’y ai joué un nombre incalculable d’heures avec mon meilleur ami de l’époque, s’enfermant pour fragger sur une TV 36 cm dans l’obscurité en plein été ! Sa ressortie remarquable en HD sur Xbox 360 (et encore jouable sur Xbox One avec du online !) m’a d’ailleurs bien prouvé qu’il était simplement indémodable.

Nous on savait s’amuser à l’époque ! *coup de canne sur ta tête*

The Legend of Zelda : Majora’s Mask

Si Ocarina of Time est le classique par excellence, sa suite directe est un OVNI zeldaïstique total d’une créativité incroyable, avec lequel il ne partage que son moteur de jeu et son gameplay. Tout a été secoué, remué et rendu étrange voire dérangeant, plongé dans un monde parallèle à Hyrule où tout semble merveilleusement bizarre. À commencer par le déroulement du jeu qui se passe sur trois jours, la lune menaçant de s’écraser sur Termina, mais on peut heureusement remonter le temps et revivre ces 72h autant qu’il le faudra pour changer le cours des événements et devenir encore une fois un héros de légende. Les habitants farfelus de ce monde ont donc leurs habitudes, que l’on pourra bousculer au fil des quêtes et de nos observations. Les masques introduits avec OOT sont ici au coeur du jeu, il y en a des dizaines, et surtout ils ont tous une utilité, en particulier ceux de Zora, Deku et Goron, qui permettent de transformer Link en lui donnant une toute nouvelle palette de mouvements. Les donjons tournent autour de ces capacités et sont une réussite, mais le coeur du jeu est cette fois-ci vraiment dans les quêtes annexes, qui nous donnent vraiment le sentiment d’appartenir à ce monde. L’atmosphère du jeu est géniale, chaque environnement étant vraiment unique en son genre, la N64 donnant tout, avec encore une fois pour une utilisation de l’Expansion Pack indispensable pour un des derniers grands jeux de la console. Je l’ai recommencé plus d’une fois (la dernière fois avec le superbe remake sur 3DS), c’est un des jeux qui m’a le plus marqué et inspiré… et fait sécher de nombreuses heures de cours… (racaille !)

Young Epona & Link’s Bizarre Adventure

Ces articles sont de plus en plus longs, mais tout à une fin. En attendant le bonus sur les jeux qu’on m’avait prêtés sur N64, passez à la partie PC, et n’hésitez pas à donner votre avis ou partager vos souvenirs en commentaires !

RePlay of the Week 30 [2020]

Retrouvez dans cette suite d’articles, le replay de chacun de mes derniers live streams sur Twitch, et n’hésitez pas à suivre ma chaîne YouTube pour être averti dès la publication des nouvelles vidéos, dont quelques « extras » ! [ DEPUIS 2012 ! ] [ RÉSUMÉ 2023 ] [ RÉSUMÉ 2024 ]


M.o.t.W.* : « Le sombre projet de Denise, enfin Nicole, enfin Irène… enfin, j’me comprends. »


2020/7/25

PC ENGINE MINI › la suite de la découverte du Nec plus ultra des petites consoles [talkie Mux](random games | PC Engine CoreGrafX mini)

Troisième et dernière partie de ma découverte des jeux de la mini PC Engine, avec des jeux de fin de vie de la console, qui exploitent au mieux le support (en particulier le CD-Rom, avec des musiques de superbe qualité) comme Lord of Thunder ou Ginga Fukei Densetsu Sapphire.

Le replay.

Mon comparse barrylesjambes étant présent, je reviens aussi un peu sur quelques jeux essayés précédemment qu’il a speedrunné, puis un obligatoire segment Bomberman et enfin je termine avec le grand classique Castlevania : Rondo of Blood, auquel je joue une bonne heure ! Le bilan est très positif pour cette mini-console, qui à l’inverse de celle “nostalgie” de Nintendo se concentrant sur des titres phares en quantité restreinte, n’est pas destinée au très grand public vu le nombre de titres méconnus axés hardcore gamer en dépit de leur excellence ; mais les joueurs curieux qui ne peuvent investir dans le matériel d’origine, ou voulant se passer des problématiques d’émulation, en auront pour leur argent.

On pourra toujours chipoter sur l’absence de la deuxième manette dans le bundle, de quelques jeux importants (Final Match Tennis :P) ou du manque de contextualisation des jeux, toutefois le plaisir de jeu est là et la qualité de conception aussi.

2020/7/20

R&C › allez Lombax, aboule les boulons ! PLTHRGH#2 [talkie Mux](Ratchet & Clank | PlayStation 4)

On entre dans le vif du sujet, en visitant un bon paquet de planètes, lors d’une belle session de jeu, jeu qui me charme de plus en plus (j’adorais déjà de base, pas dur haha).

Le replay.

J’abuse du pixelisateur d’ennemis mais cette arme est tellement stylée, haha. Cela dit, le système d’XP sur les armes et le manque relatif de munitions pousse à tout utiliser donc je varie quand même fréquemment. J’entendais assez peu les musiques du jeu alors que j’avais reglé ça correctement avant le stream, mais finalement ça va pour vous. Je tweakerai quand même le mix pour la prochaine fois ^^

La glissade du tigre.