mylife

RePlay of the Week 39 [2024]

Retrouvez dans cette suite d’articles, le replay de chacun de mes derniers live streams sur Twitch, et n’hésitez pas à suivre ma chaîne YouTube pour être averti dès la publication des nouvelles vidéos, dont quelques « extras » ! [ DEPUIS 2012 ! ] [ RÉSUMÉ 2023 ] [ RÉSUMÉ 2024 ]

2024/09/27 + 2024/09/28

JACKOUILLE LA CITROUILLE › Pumpkin Jack playthrough (PS4), fin ! #PlatformerZ [MuxerZ replay+extras]

Suite et déjà fin de Pumpkin Jack, avec les trois derniers niveaux, toujours en mode “fouilling” afin de trouver les crânes de piafs nécessaires pour débloquer les différents costumes. Plot twist, j’ai du interrompre juste avant la fin de la dernière ligne droite et finir offline, si vous étiez sur le stream, zappez pour voir l’affrontement final {4:20:20}, puis la complétion à 100% avec l’achat du dernier déguisement !

J’ai vraiment beaucoup aimé ce jeu… vue la qualité artistique, le degré de finition technique et le sens du détail omniprésent, c’est impossible de se douter qu’il est l’œuvre d’une seule personne. La variété du gameplay est vraiment agréable, sans faire passer le cœur du jeu au second plan (la plate-forme et les combats), travers souvent rencontré dans le genre platformer 3D. De même pour la partie scénaristique, qui offre des dialogues très fun (avec une version français tip-top) que j’ai eu plaisir à doubler ; je me suis bien attaché à ce petit corbeau d’ailleurs !

Sans qualifier ceci de rééls défauts (“c’est pas toi, c’est moi…” #SkillIssues) : le mini-jeu du dernier monde m’a frustré plus que de raison et demande de la résilience ; les combats en général peuvent aussi virer au brouillon ; enfin le double saut très flottant occasionne des frayeurs (mais souvent prises en compte par le level design).

J’aurais sans doute fini ce Citrouille Jacques bien plus vite en ligne droite, mais même ainsi je suis sûr qu’il y a matière à passer quelques heures de simples bons moments !

Regarder la vidéo.

2024/09/21 + 2024/09/23 + 2024/09/25 + 2024/09/26

MONTHL’iNK _Y2024-M07 (crayonné) › Illustration du mois ! Prompt : #PREPARE [MuxerZ replay+extras]

Voilà la totalité du processus de crayonnés pour l’illustration numéro 7 de Monthl’iNK 2024, qui continue de dévoiler l’univers de Distortion ! Retour majoritairement online pour ce dessin, mais fonctionnement moins structuré pour m’aider à avancer plus vite (déjà deux mois de retard ^^’), sans me ruiner la santé à faire des sessions de stream productives mais trop longues. Une méthode qui sera encore probablement plus “chaotique” pour les illus suivantes, en intégrant à la réalisation du thème les phases d’études nécessaires, tant pis pour les stats Twitch, haha.

Plus de sept heures pour arriver au résultat voulu, c’est trop mais c’est ça de tenter de nouvelles techniques. Vous trouverez donc à la suite du premier stream, un segment offline {1:54:30} où je tente de positionner un mannequin 3D de Clip Studio comme j’en avais besoin, puis le second stream {2:30:36}, et enfin des améliorations finales encore offline {5:34:30} qui se sont éternisées ! Place à l’encrage maintenant…

RePlay of the Weeks 37 & 38 [2024]

Retrouvez dans cette suite d’articles, le replay de chacun de mes derniers live streams sur Twitch, et n’hésitez pas à suivre ma chaîne YouTube pour être averti dès la publication des nouvelles vidéos, dont quelques « extras » ! [ DEPUIS 2012 ! ] [ RÉSUMÉ 2023 ] [ RÉSUMÉ 2024 ]

2024/09/19

BEAU CORPS & CORBEAU › Pumpkin Jack playthrough (PS4), 1ère partie #PlatformerZ [MuxerZ replay]

Voilà un petit moment que je voulais streamer Pumpkin Jack, jeu de plate-forme réalisé par une seule personne (!!), j’ai profité que ma PS4 Pro soit branchée dans mon bureau suite à Ratchet & Clank, pour enchaîner dessus !

J’ai adoré ces trois premiers niveaux, avec une bonne jouabilité et un gameplay qui se renouvelle habilement tout du long, ceci avec un réalisation nickel et un scénario très fun (qui me donne l’occasion de refaire des voix en doublant tous les persos, haha). Hâte de continuer les aventures du Jack’o et du corbeau !

Regarder le replay.

2024/09/12 + 2024/09/14 + 2024/09/15

MONTHL’iNK _Y2024-M07 (recherches) › Pour l’illustration encrée du mois ! [MuxerZ replay+extras]

Voici quelques études et entraînements réalisés en stream ou en enregistrement pour m’échauffer avant la septième illustration de Monthl’iNK 2024 qui développe mon univers Distortion !

Un mois allégé, puisque j’ai pas mal dessiné en déplacement et ne me suis ensuite pas éternisé sur les recherches streamées afin d’entamer le dessin final au plus vite, ayant déjà eu du mal à m’y remettre en rentrant, avec une bonne crise de confiance passagère (ces moments où vous voulez arriver à un truc précis mais que vous essayez d’appliquer plein de nouveaux paramètres en même temps en panique pour un résultat incompréhensible), donc autant se lancer et aviser.

Le segment offline m’a tout de même remis sur les rails {1:20:20}, avec une dernière session {2:33:40} qui termine sur une note plus positive ! Voyez désormais tout “ça” scanné au propre sur le site, avec ce qui n’a pas été filmé ^^

a Life in Games (partie #6.3) “Le Pécé” -ter-

Cet article fait partie d’une série où je parle de tous les jeux auxquels j’ai joué dans ma vie ! C’est mon avis et je le partage… avec des anecdotes amusantes ! [ SOMMAIRE ]

PC

Un des genres phare du PC depuis 20 ans, est le MMMPORPG… heu MMORPG, les jeux massivement multi-joueur en ligne quoi, tel l’increvable World of Warcraft, mais je dois bien vous avouer que je n’ai jamais joué à aucun d’entre eux. Même pas essayé… même pas un free-to-play ! Je n’ai jamais de base été attiré par le jeu online, même si cela m’est déjà arrivé de faire quelques parties de mon plein gré sur certains jeux ; mais j’ai peut-être surtout la crainte, en voyant à quel point le “meuporgue” peut happer des personnes autour de moi, d’être moi-même encore plus englouti dans ces univers, alors que j’arrive déjà à passer des centaines d’heures sur des jeux à monde ouvert ou de vouloir tout ratisser dans les J-RPG. Ou alors, en fait je n’aime juste pas les gens ? 😅

Star Wars Episode I : Racer

Fan des jeux de course futuriste, le PC était assez mal loti, à part le vieux POD. Finalement le genre a obtenu un bon candidat grâce… à Star Wars ! C’est probablement la meilleure chose qu’ait offert le film La Menace Fantôme : la fameuse course de pods, et se baser dessus pour faire un jeu à part était clairement la meilleure chose à faire, en étendant le lore de la course aperçue au cinéma, avec un “bestiaire” attachant (j’ai fait la plupart des courses avec Ody Mandrell).

Le système de surchauffe des différentes parties des bolides (aux profils très différents) rendait les courses assez stratégiques. Les environnements variés et la sensation de vitesse, notamment avec la vue subjective, étaient vraiment des réussites. Les musiques orchestrales à la John Williams étaient peut-être le point un peu lassant du jeu, trop d’envolées épiques en boucle !

Les bolidos !

Half-Life

Le FPS révolutionnaire de Valve, qui a apporté tant au genre, en terme de narration ingame ou d’IA (même si on peut plutôt parler de script), mais aussi par son héros et son arsenal. Qui aurait pu s’enthousiasmer avant ça sur un héros scientifique qui se défend à coup de pied-de-biche dans des conduits d’aération ? La gestion du rythme de l’aventure était vraiment incroyable, avec ses phases d’exploration prudente, entrecoupées de grosses montées d’adrénaline. La sensation d’être en mode survie entre plusieurs entités aux motivations qui nous échappent, les armes crédibles, les éléments de scénario suggérés, tout cela contribuait à rendre cette fuite si prenante…

La dernière partie m’a un peu fait lâcher le jeu mais ce n’est rien par rapport à l’impact qu’a pu avoir Half-Life globalement. Confession, je n’ai toujours pas fait le 2…

La quintessence.

J’ai également fait les deux extensions Opposing Force et Blue Shift, qui donnent un point de vue nouveau sur les événements du jeu principal ; le premier où on incarne un marine doté d’un arsenal étendu et qui continue avec brio l’aventure avec des passages mémorables, et le second qui nous fait contrôler un agent de sécurité de manière plus anecdotique, sans apporter de réelle nouveauté, mais qui m’avait plu quand même (et apportait un pack d’update graphique pour les trois jeux).

J’avais également testé les modes multi-joueur quand j’ai eu l’ADSL, avec difficulté, ne trouvant jamais grand monde dessus ou ne pigeant pas comment en trouver, dommage ça avait l’air fun ! Enfin, impossible de mentionner le fait que Counter Strike soit issu de ce grand jeu, même si je n’ai joué qu’occasionnellement chez des potes sur les premières version. Et “bizarrement”… c’était pas trop mon truc !

The Sims

Oh nongue…

Jeu OVNI de Maxis qui, en zoomant en quelque sorte sur une maison de Sim City, a tout balayé sur son passage sans crier gare ! Une simulation de quotidien qui offrait plusieurs approches, dont celle de faire le code pour avoir fric infini et se faire une baraque de rêve sans faire les trucs chiants d’adulte ! Les puristes ne peuvent s’abaisser à ça, ni à torturer ces pauvres Sims en les laissant mourir d’une envie de pisser coincés entre quatre pans de murs ou dans une piscine d’un mètre carré sans échelle… Je n’étais pas un puriste pour le coup, et c’est d’ailleurs le seul épisode auquel j’ai joué, sans les myriades d’extensions. Reste que c’était fun !

Worms Armageddon

J’avais eu une démo de Worms 2 dans un CD de magazine qui m’avait beaucoup plu, et qui apportait un design mignon à la série devenu ensuite la norme, mais jamais le jeu complet. Puis un jour je me suis rappelé que ça me donnait trop envie de l’avoir, même pour jouer tout seul, en incarnant les deux équipes adverses sans prendre partie, juste en faisant les meilleurs tirs possibles, haha.

C’est ainsi que j’ai pris cet épisode sorti en 1999, qui est un “Worms 2++”, avec le même moteur mais plus de contenu, est encore maintenant mon Worms préféré malgré le nombre de suites infini sorties depuis et que j’ai pu essayer ! Le gameplay et la physique raffinés, le générateur de niveau aléatoire et toutes les options disponibles de personnalisation des parties font que, même sans amis, Worms Armageddon a une durée de vie sans limite (sauf si vous vous fâchez avec vous-même).

Une publicité de 1999 en 240p vaut mieux qu’un long discours.

Serious Sam : The First Encounter

“De base je n’ai jamais été très attiré par les FPS en général…” oui bon c’est le quatrième FPS de cette liste PC, changez de disque monsieur erZ ! Blague à part, c’est un des premiers shooter solo qui m’a attiré, avec son aspect débile omniprésent (en particulier par le biais de son bestiaire haut en couleurs), et son côté grand spectacle. Et puis il avait la gentillesse de tourner sur mon deuxième PC et d’avoir été offert en cadeau avec la carte graphique ! Il devenait vite trop difficile pour que je puisse le terminer, mais j’ai passé malgré tout de nombreuses heure dessus, ainsi que sur sa suite directe, The Second Encounter !

Vous voulez que je vous dise quoi de plus ??

The Curse of Monkey Island

Troisième épisode de la série, je me souviens avoir eu une démo du jeu dans un magazine PC Team et d’avoir été soufflé par la réalisation digne d’un dessin animé, mais j’ai dû attendre une dizaine d’année avant de faire le jeu complet. Cette suite réalisé après le départ de Ron Gilbert et le dernier du studio LucasArts à utiliser le système SCUMM, est vraiment de toute beauté, et même s’il marque moins les esprits par ses situations et énigmes que les deux opus précédents, j’adore vraiment celui-ci ; notamment avec le personnage de Murray, le crane parlant. Dommage qu’ils n’aient pas tentés de transposer ce chara design pour le remake des deux premiers…

Un concept art bien représentatif.

Tony Hawk’s Pro Skater 2

Une belle brochette de skaters pro (et puis Spider-Man).

J’avais découvert la série avec Tony Hawk’s Pro Skater sur PS1, et évidemment tout de suite accroché, mais THPS2 a vraiment été mon opus favoris, cette fois sur PC et joué au clavier. Bien plus nerveux, beau et riche, avec la meilleure bande son possible, qui marqua son époque comme seul GTA : Vice City a pu le faire, on y jouait tout le temps avec mes potes de lycée. Puis on était des skateurs (vite fait) ! Un éditeur de skate parks était aussi de la partie, pour un fun infini. J’ai bien aimé ses deux suites, avant que la série ne sombre dans le chaos, mais THPS2 reste la quintessence absolue du genre “skate arcade”.

Soldier of Fortune

Vous incarnez monsieur Moustache, un mercenaire, qui va vous enseigner comment tuer, rapide, précis, efficace. Utilisant le moteur de Quake II avec brio, ce FPS de Raven Software reste un de mes préférés, en particulier pour la gestion des dégats sur les ennemis (26 points d’impact !). Le fusil à pompe, arme star du jeu, permet en effet d’arracher les membres des malfrats ennemis. Totalement immoral et démesurément violent, le côté très polygonal du jeu sorti en 1998, rend tout cela très cartoonesque et fun malgré l’ambiance de mort et de propagande militariste.

J’ai ainsi bien moins aimé sa suite, beaucoup plus réaliste et détaillé, à l’IA punitive. L’intérêt premier de cet opus original est évidemment de pouvoir tout dégommer sans prise de tête (jouez en facile, no shame). Je l’ai refait dernièrement, c’est pas beau évidemment, mais le plaisir est toujours là !

Encore très propre de nos jours en haute résolution. Enfin façon de parler… 🔞

Emperor : Rise of the Middle Kingdom

Le chant du cygne d’Impression Games, qui pour son dernier city builder, avec le concours de BreakAway Games, nous offrait une excursion en Chine ancienne, signant un retour à un jeu moins foufou que Zeus, et une apothéose de ce gameplay unique en son genre, corrigeant les petits défauts de ses prédécesseurs. Visuellement c’est l’extase des sens, avec une profusion de sprites de grande qualité, offrant des villes harmonieuse et foisonnantes de détails.

2000 YEARS LATER

La bande son de Jeff Van Dyck m’a également beaucoup marquée, idéale pour écouter les mêmes morceaux pendant des heures ! Encore une fois, le jeu est très instructif niveau historique, et s’il marqua malheureusement la fin d’une ère, vingt ans plus tard il reste toujours un de ces bons vieux jeux auquels on peut revenir les yeux fermés.

Red Faction

Détruire des trucs dans les jeux vidéo a toujours été ma came depuis l’arrivée de la 3D, un FPS qui permet de détruire des murs et carrément creuser la roche avec les armes, était obligatoirement obligé de passer dans mes mains ! Bon, cette feature impressionnante pour l’époque nommée “Geo-Mod” n’est en réalité pas vraiment exploitée dans la trame du jeu, qui a un gameplay plutôt classique (et efficace) pour 2001, mais évidemment rien ne vous empêche de ne pas foncer tête baissée pour tenter des trucs en mode bac à sable, et creuser des galeries à coup de grenades dans le sous-sol de Mars… et y trouver de l’eau ?

Petite démo-lition.

Ground Control

Le premier jeu de stratégie temps réel que j’ai eu, j’avais bien aimé la pochette… Réalisé par Massive Entertainment (big up !), il m’avait impressionné graphiquement (et tournait très bien sur ma nouvelle machine, désormais sous Windows Millenium –gloups-), avec des textures vraiment très nettes et détaillées, même en zoomant avec la caméra libre. Malheureusement je n’y ai pas joué bien longtemps, vu que je n’y comprenais pas grand chose, le jeu étant dépourvu d’éléments de construction pour tout baser sur la tactique, les unités étant à sélectionner avant le lancement de la bataille (donc réfléchir au lieu de foncer dans le tas), et que je n’avais pas de notice…

Le charisme quoi.

Parlez de vos jeux PC à vous en commentaires le temps que j’écrive la suite ! Puis en avant vers la PlayStation !